Comment préserver son capital osseux à la ménopause ?
La ménopause vient de s’inviter dans ma vie et avec elle, un nouveau chapitre de mon « parcours de femme » commence. Comme beaucoup, je redoutais cette période. Le dernier grand changement était lors de ma puberté, et on ne peut pas dire que ce fut une partie de plaisir. Celles qui ont souffert du syndrome prémenstruel savent surement de quoi je parle.
Cette fois-ci, les troubles sont tout autres, mais tout aussi gênants dans mon quotidien. D’autant plus qu’ils ne se limitent pas à une dizaine de jours par mois. Entre les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes, on peut dire que j’ai été gâtée.
Les mois passant, j’ai également constaté une forme de raideur, en particulier au niveau des articulations. Et là, le déclic, je me revois hausser les épaules quand ma mère se plaignait de ces mêmes douleurs. A l’époque, elle avait la cinquantaine, et moi, adolescente, je lui répondais bien cruellement que c’était normal « quand on est vieille ».
VIEILLE ? A la cinquantaine ? C’est dingue cette capacité que l’on a à l’adolescence d’être persuadée que l’on restera jeune éternellement et que les affres de l’âge ne nous atteindront jamais.
Et puis on va relativiser, sérieusement, on n’est pas « vieille » à la cinquantaine, ni même à la soixantaine. Par contre, il est impossible de nier que certains changements physiologiques s’opèrent à la ménopause.
Mais revenons à nos moutons, pourquoi ressentons-nous des douleurs osseuses et musculaire à partir de la ménopause ?
Quand ménopause rime avec ostéoporose…
A la ménopause, notre corps subit un véritable chamboulement hormonal avec une chute du taux de progestérone et d’œstrogènes. Le problème, c’est que ces hormones tiennent un rôle important dans la construction de nos os.
Résultat, ce déficit d’œstrogènes entraine une augmentation de la perte osseuse et avec le temps, l’ostéoporose s’installe.
Évidemment, les hormones ne sont pas les seules à blâmer. D’autres carences, particulièrement en vitamine D et en Calcium, deux éléments indispensables au maintien d’une ossature normale, peuvent expliquer cette perte de capital osseux.
Le risque à terme est une augmentation du risque de chutes et de fractures, voir des tassements vertébraux entrainant des douleurs chroniques et une posture voutée.
Cependant, il existe des solutions pour limiter cette perte osseuse à la ménopause.
Comment maintenir son capital osseux à la ménopause ?
Le premier conseil : prendre soin de son alimentation. Variée, équilibrée, cette dernière est censée apporter l’ensemble des vitamines et minéraux indispensables à notre bien-être.
Le second, c’est de maintenir une activité physique régulière. Marche, yoga, tai-chi, ces sports vont stimuler la formation de masse osseuse et améliorent l’équilibre. L’idéal étant de les pratiquer en extérieur pour faire le plein de vitamine D grâce aux rayons du soleil.
Enfin, afin de prévenir le risque de fragilité osseuse lors de la ménopause, une supplémentation associant du Calcium et de la Vitamine D à des extraits de plantes visant à compenser la diminution des œstrogènes est tout indiquée.
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